Après avoir boycotté le Mouloudia d’Alger pour avoir ses papiers sans payer le moindre centime, le cas Abderrahmane Bourdim devient un vrai casse-tête pour pour le Doyen.
D’un côté, le joueur ne compte pas payer son départ et, de l’autre, le président insiste pour qu’il paye 1,7 milliard pour avoir ses papiers. Alors qu’il était en contact avec le CRB, qui a écarté au final sa piste, le MCA se retrouve avec le cas Bourdim sur les bras.
Le président Brahmia a misé sur le transfert de Bourdim au CRB, qu’il attendait avec impatience. Mais les Belouizdadis ont montré au joueur qu’ils ne sont pas près de payer 1,7 milliard, comme stipulé dans son contrat au cas où il voudrait partir.
Le joueur s’est engagé au CRB qui devait régler sa situation, mais le Mouloudia ne veut pas le céder gratuitement. Lors de la réunion du CA, le président Brahmia a évoqué le cas Bourdim et tout le monde a compris que le joueur doit payer la somme de 1,7 milliard, car s’il est libéré sans gratuitement, le président mouloudéen ne saura pas l’expliquer au commissaire aux comptes quand il présentera son bilan. L’affaire coince donc, et personne ne sait comment les choses vont évoluer.
Ce qui est sûr, le Mouloudia d’Alger ne veut pas de Bourdim. Mais comment le pousser à partir tout en l’obligeant à payer la somme convenue ? Une question qui préoccupe, depuis quelque temps, le président du Mouloudia qui trouve du mal à régler ce souci.
En fin de compte, Bourdim reviendra-t-il avec le groupe ? Possible, car le président ne trouve toujours pas la solution pour céder le joueur et gagner 1,7 milliard.