Les pays qui accordent l’immunité à l’État d’apartheid contre les sanctions internationales sont des partenaires dans le sabotage de la solution à deux États et les encouragent à commettre plus de violations et de crimes conformément au droit international, selon le Ministère des affaires étrangères et des expatriés.
Le ministère voit que le gouvernement d’extrême droite de Netanyahu continue de mettre en œuvre plus de ses projets et plans coloniaux expansionnistes sur les territoires palestiniens, tout en approfondissant le système d’apartheid en Palestine occuppeé, non seulement par les déclarations publiques, mais surtout à travers les processus coloniaux qui ont été pratiqués en Cisjordanie, y compris à Jérusalem.
La diplomatie palestinienne a condamné, dans un communiqué ce mercredi, les pratiques de la colonisation israélienne sous toutes ses formes: les graves violations et crimes contre la loi internationale et les résolutions de l’ONU et les Conventions de Genève, en particulier, la confiscation forcée de territoires palestiniens, visant de fermer la porte devant la chance d’incarner l’État palestinien viable, géographiquement contigu et souverain, avec Jérusalem-Est pour capitale.
Elle a également tenu le gouvernement israélien pleinement et directement responsable du crime de colonisation, et de ses conséquences désastreuses sur la possibilité de relancer le processus de paix et les négociations entre les deux parties, et de ses graves répercussions sur la sécurité et la stabilité de la région, d’autant plus que l’intensification des colonies et la démolition de maisons et d’installations palestiniennes qui ferment la porte à tout effort visant à restaurer l’horizon politique de résolution du conflit et tuant l’espoir d’une solution politique au conflit.
Le ministère a souligné que ces crimes sont commis contre le peuple palestinien devant la communauté internationale et les États et de l’administration américaine et à la lumière des réactions internationales misérables typiques envers les colonies, l’État occupant n’est pas obligé d’arrêter les colonies, de s’engager immédiatement dans un processus de paix, et de véritables négociations pour résoudre le conflit, selon les termes de référence internationaux de paix, y compris l’Initiative de paix arabe.