CultureSalle El Sahel (Chéraga): des films algériens à l’affiche

Salle El Sahel (Chéraga): des films algériens à l’affiche

Dimanche 30 juillet à 13h:
«Le puits» de Lotfi Bouchouchi. Synospis: à la fin des années cinquante, pendant la période de l’occupation française et dans l’un des villages algériens, l’armée française a assiégé la population des femmes et des enfants et les empêche d’approcher le seul puits qui les’ alimentent en tirant sur tous ceux qui s’y rendent.

Samedi 29 juillet à 13h:
«Irfan» de Salim Hamdi. Synopsis: Yamina ancienne moudjahida âgée de 70 ans, vit avec son petit-fils, Ahmed, diplômé en histoire. Elle lui raconte tout le temps la même histoire depuis cinquante ans. Celle de ces souvenirs douloureux d’une guerre qui lui a tout pris.
Samedi 29 juillet à 15h:
«Ibn Badis» de Bassil El Khatib. Synopsis: le film revient sur les aspects de la vie du réformiste musulman, natif de la ville de Constantine (1889-1940). Le film débute par un évènement important de sa vie, qui est le décès de son grand-père en 1899.
Samedi 29 juillet à 17h:
«Chronique de mon village» (2015) de Karim Traïdia. Synopsis: en 1960, Bachir, neuf ans, rêve de devenir fils de martyr car il a entendu dire que les enfants de martyrs obtiendront tout après l’indépendance.
Il met en place tout un plan afin de se débarrasser d’un certain François, ennemi de son pays, tandis que son père, Saddek, l’a abandonné avec sa mère et ses frères.
À travers cette fiction, le film se penche sur la vie et les visions des petits Algériens pendant la Guerre de Libération nationale.
Dimanche 30 juillet à 15h:
«Nous n’étions pas des héros» (2017) de Nasredine Guenifi. Synopsis:
La ville de Lambèse est le théâtre de tortures, tant physiques que morales, pour les résistants de la Guerre d’Algérie. Sous forme d’un récit fictionnel adapté du roman «Le camp» d’Abdelhamid Benzine, sont dépeintes les conditions dans les camps spéciaux de l’armée coloniale, où nous accompagnons un groupe de détenus, dans leur quotidien animé de violence.
Les gardes sont d’anciens officiers nazis, qui ont pour mission, de faire abandonner toute résistance, et toute foi idéologique, à force d’humiliations et de corvées.

Dimanche 30 juillet à 13h:
«Le puits» de Lotfi Bouchouchi. Synospis: à la fin des années cinquante, pendant la période de l’occupation française et dans l’un des villages algériens, l’armée française a assiégé la population des femmes et des enfants et les empêche d’approcher le seul puits qui les’ alimentent en tirant sur tous ceux qui s’y rendent.

Samedi 29 juillet à 13h:
«Irfan» de Salim Hamdi. Synopsis: Yamina ancienne moudjahida âgée de 70 ans, vit avec son petit-fils, Ahmed, diplômé en histoire. Elle lui raconte tout le temps la même histoire depuis cinquante ans. Celle de ces souvenirs douloureux d’une guerre qui lui a tout pris.
Samedi 29 juillet à 15h:
«Ibn Badis» de Bassil El Khatib. Synopsis: le film revient sur les aspects de la vie du réformiste musulman, natif de la ville de Constantine (1889-1940). Le film débute par un évènement important de sa vie, qui est le décès de son grand-père en 1899.
Samedi 29 juillet à 17h:
«Chronique de mon village» (2015) de Karim Traïdia. Synopsis: en 1960, Bachir, neuf ans, rêve de devenir fils de martyr car il a entendu dire que les enfants de martyrs obtiendront tout après l’indépendance.
Il met en place tout un plan afin de se débarrasser d’un certain François, ennemi de son pays, tandis que son père, Saddek, l’a abandonné avec sa mère et ses frères.
À travers cette fiction, le film se penche sur la vie et les visions des petits Algériens pendant la Guerre de Libération nationale.
Dimanche 30 juillet à 15h:
«Nous n’étions pas des héros» (2017) de Nasredine Guenifi. Synopsis:
La ville de Lambèse est le théâtre de tortures, tant physiques que morales, pour les résistants de la Guerre d’Algérie. Sous forme d’un récit fictionnel adapté du roman «Le camp» d’Abdelhamid Benzine, sont dépeintes les conditions dans les camps spéciaux de l’armée coloniale, où nous accompagnons un groupe de détenus, dans leur quotidien animé de violence.
Les gardes sont d’anciens officiers nazis, qui ont pour mission, de faire abandonner toute résistance, et toute foi idéologique, à force d’humiliations et de corvées.

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